Des nuances de vert et de rouge à l’infini, un contraste saisissant avec la terre d’un orange brut qui les abrite, des textures surprenantes, des formes géométriques d’une pureté limpide, des structures toutes plus abracadabrantesques les unes que les autres…
On ne parle pas ici de cuisine ou d’architecture, mais du maquis minier du Grand Sud calédonien. Une végétation à 95% endémique qui est installée dans ce sol si particulier de ce bout de la Grande Terre, où les teneurs en minerais décourageraient la plupart des végétaux. Mais pas ceux-là. Ils se sont adaptés, ont développé des astuces pour limiter l’impact du soleil, optimiser la moindre goutte d’eau et tirer parti au maximum du peu que la terre a à offrir.
Dracophyllum, néocallitropsis, grevillea gillivraye, cladia retipora, drosera neocaledonica. Autant de noms scientifiques pour ces plantes magnifiques. Voici donc un petit florilège de cette flore atypique qui a marqué durablement nos yeux et nos pupilles.
Des plantes,des fleurs rien ne me fait plus rêver!!!